23/7/2025
Dans un monde obsédé par la performance et l’occupation permanente, faire moins devient un acte de santé mentale. Cet article explore comment ralentir pour mieux vivre.
Par Jean-Paul Lugan, psychologue, coach, expert en préparation mentale et auteur de « Santé mentale, la méthode M.I.N.D à portée de tous » – 23 juillet 2025
Voici la version structurée pour Webflow avec intertitres H2 clairs et optimisés :
Beaucoup de gens souffrent aujourd’hui de surcharge mentale.
Non pas uniquement parce qu’ils en font trop…
Mais parce qu’ils ne s’autorisent plus à ne rien faire.
Dans un monde obsédé par l’action, le vide fait peur.
Le silence dérange.
L’inactivité semble suspecte.
On découpe nos journées en unités de temps :
Se lever. Petit-déjeuner. S’occuper des enfants. Les amener à l’école.
Transports. Réunions. Appels. Sport. Courses. Mails. Dîner.
Tâches ménagères. Apéro. Et parfois… retour au travail.
À force d’enchaîner les instants, on s’enchaîne soi-même.
Notre emploi du temps est plein.
Mais nous, souvent… nous sommes vides.
Même dans nos rares moments de respiration, nous ne sommes pas vraiment là :
Résultat : nous sommes présents partout, mais absents de nous-mêmes.
On vit nos journées comme on zappe des chaînes :
Sans pause. Sans attention. Sans saveur.
Et si on choisissait de faire moins… mais mieux ?
Car la santé mentale, ce n’est pas réussir à tout faire.
C’est savoir choisir, savoir ralentir et habiter pleinement ce que l’on vit.
Ces constats viennent de mon expérience en recherche et en ateliers auprès de dirigeants, managers et collaborateurs, autour de la santé mentale, du management de soi et de la prévention des risques psychosociaux.
📖 Pour aller plus loin : lire mon livre Santé mentale, la méthode M.I.N.D à portée de tous
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